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La boîte aux lettres de
Martine Gengoux

Libellule

(Éditions de l’Aube, mai 2018)

Ils sont âgés de 25 à 87 ans, aiment le voyage, le Picon-vin blanc, leur chat malingre ou leur voisine. Leurs rêves sont modestes ou grandioses sur une route qu’ils tentent d’adapter à leurs souliers. Ils occupent, dans la ville basse, les petites maisons de l’ancienne cité ouvrière d’une fabrique désaffectée : La Courette. Peut-être plus pour longtemps, le lieu est menacé par le projet d’implantation d’un centre commercial… L’auteure donne vie à ces personnages pas tout à fait dans les clous ni vraiment marginaux qu’ébranlera une mystérieuse disparition. Un roman empreint d'humanité, qui nous rappelle qu'il n'y a pas de mode d'emploi pour mener son existence.

Libellule

(Éditions de l’Aube, mai 2018)

Violette

(Éditions de l’Aube, mars 2017)

La cohabitation pacifique avec son cochon d’Inde, les puzzles de cinq mille pièces, sa collection de toupies et l’estime de ses patrons suffisaient à combler l’univers de Violette… jusqu’à ce que la blanchisserie qui l’employait soit amenée à fermer ses portes. Sa sœur saisit l’occasion pour l’inviter à venir rencontrer son nouveau fiancé. C’est sans enthousiasme que Violette accepte. A l’Hôtel de la plage que possède la famille de ce nouveau beau-frère, ce sont pourtant des rencontres peu banales qui l’attendent. Sur fond de rock des années soixante et de balades en side-car, la jeune femme est embarquée dans un tourbillon joyeusement foutraque.